Les Géorgiques, Claude Simon
Un seul être, ou deux, ou trois, protéiforme et unique, comme la douleur, la peur, la guerre et le froid. C’est la bande ininterrompue du temps, torsadée au point d’y voir l’advenu et le futur se toucher. Nul ne sait de quoi il en retourne. On ne connaît que l’intensité tonitruante de sentiments profonds, d’impressions térébrantes. Et que cela fait office d’éternel au genre humain.